Interview de Pascal Pacaly sur Trash Palace




‎"Décrypter les infos que l’on reçoit. Ne pas être dupe de tout ça, comprendre le sens caché derrière les mots, les gens, et là je pense à la politique ou tout ce qui va être commercial. Les livres sont eux, la source de tout, du savoir (...) Et cela fait également partie de l’inspiration, c’est un tout, un réservoir qui fait qu’à un moment donné tu mets bout à bout des images qui bientôt formeront des histoires…"

" Pourquoi et comment on descend dans l’interdit, et qu’est-ce qu’on y trouve à l’intérieur, tout au fond ?"

"Je ne dirais pas ça. Qu’il reste de l’espoir. Car évidemment la réalité dépasse la fiction. Quand tu es au fond du trou, tu y es, et souvent il n’y a pas de porte de sortie, d’espoir. Et il ne sert à rien de se leurrer.(...) L’espoir, c’est à la fois de se réveiller chaque lendemain encore vivant, mais aussi de savoir qu’il y aura une fin.
C’est très pessimiste je te l’accorde, mais tout autant réaliste. Du moins ma réflexion fait référence aux nouvelles de « Trash Palace »."

"Le seul artiste que j’aurais aimé rencontré est Buster Keaton. Il y a une telle solitude sur son visage, c’est tellement émouvant. "

Une interviewe réalisée par des lecteurs...ça se lit ici :

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